• Tomorrow is a New Day ! Bon, après la petite histoire un peu con-con et gentillette de Noël, voici une autre petite histoire pas tout à fait du même genre ! Mais elle est déjà mieux écrite que la précédente ! Essayez de pas deviner tout tout de suite, ce ne serait pas drôle ! Bonne lecture ! Langue tirée

    Kurome chan

    Hier, aujourd'hui, demain

    Le jeune homme se leva ce matin de 23 Janvier, comme à son habitude vers sept heures, c'était un lève tôt ! Il fit sa toilette et part dans sa cuisine se préparer un copieux petit déjeuné, il aimait bien avoir le ventre plein ! C'était une manière de cacher bien des choses.
    Son nom était Barry Stevenson, trente ans, célibataire depuis très peu de temps, pas vraiment ce qu'on appelle beau garçon mais plaisant à l'œil. Il était cadre informatique. Barry était d'ailleurs du genre très propre, toujours à vérifier que nulle part ne traînait un grain de poussière, un mouchoir ou une veste laissée malencontreusement sur le canapé couleur crème de son salon. Pas vraiment maniaque, seulement ordonné. Il n'aimait pas les imperfections.
    Barry avait une petite amie autrefois. Elle s'appelait Katherine et c'était un joli brin de femme, pas très grande, attirante en tout point et toujours souriante. Il l'avait rencontrée il y a 3 ans.
    Elle avait une très grande passion, une passion qui l'emporta loin, loin de Barry. Katherine était dotée d'une grande bonté et aimait aider les gens. Elle s'était d'ailleurs inscrite dans une association qui consistait à creuser des puits en Afrique et dans certaines parties du désert. De ce fait, souvent, elle s'absentait un mois ou deux, creuser un ou deux trous dans le sable, laissant son petit ami derrière elle. Barry ne l'accompagnait jamais, il avait trop peur de se salir et sa peur pour les insectes était à la hauteur de son dégoût à leur égard : un cafard ? Direction la poubelle ou la cheminée.
    Mais cela faisait maintenant 1 an que Barry n'avait pas vu Katherine. Pendant les premiers mois, il ne s'était pas inquiété, aussi, n'avait il pas appelé la police. Mais au bout d'une attente de 11 semaines consécutives, il commença à se poser des questions. Il lança des recherches...sans réponses...
    Ce n'est qu'au neuvième mois que Barry avait reçu une lettre qui lui apprenait que Katherine l'avait laissé tout seul, elle le quittait.
    Ce fut très dur, si dur que sur le coup, il crut en mourir. Il n'avait d'abord pas très bien réalisé la chose mais quand le déclic fut total, il sentit son estomac se tordre dans tous les sens, son cerveau se liquéfier à l'intérieur de sa tête et ses yeux quitter ses orbites à mesure que les larmes coulaient. Cela faisait si mal...la douleur était telle qu'il savait qu'il n'arriverait pas à la surmonter...qui pourrait ?
    Il l'avait aimé, elle l'avait tant aimé...et puis comme ça, tout d'un coup, elle lui avait tout pris, son sourire, sa joie de vivre...en même temps que son envol vers un autre ciel...Katherine lui avait arraché le cœur...comment avait-elle pu ?!

    Barry se leva de table et fit soigneusement la vaisselle avant de tout ranger dans les placards. A chaque fois qu'il se perdait dans ces questions sans réponses, il éprouvait le besoin de laver, de ranger...ça le faisait sourire en même temps qu'il pleurait. Oui, il était devenu malheureux depuis ce jour...qui ne le serait pas ?
    Dans sa chambre, il choisit dans son armoire une chemise blanche et un pantalon leu marine en coton confortable. Il se regarda dans la glace et pour la première fois depuis que Katherine était partit, sourit. Mais d'un sourire glacial. Il était 8 heures cinq.
    Il passa une nouvelle fois dans sa salle de bain et commença à dompter son épaisse frange brune avec un peigne. Pas facile de se coiffer...sa mémoire s'était quelque peu effritée avec le temps...et puis tout à coup, tout lui revint en tête...sa façon de marcher à ce moment là, son sourire, ses dents blanches, ses cheveux, sa barbe mal rasée...tout ! Même le petit plis sous la poche de son pantalon !
    Huit heures vingt-sept, Barry s'asseyait à son bureau et écrivit une lettre, à personne.
    Huit heures quarante et une, Barry se leva de sa chaise et fouilla dans le tiroir de la commode de sa chambre et en sortit une cravate, bien solide. Il la passa autour de son cou et observa attentivement le plafond. Il y avait une poutre, assez grosse pour tenir et assez fine pour faire un nœud avec le tissus. Il poussa sa chaise et monta dessus. Il attrapa doucement le long bout de cravate et le noua au rondin de bois. Il inspira un grand coup. Plus qu'une minute à attendre, plus qu'une seule...avant de partir à sa recherche... BIP !
    Presque quarante cinq ! Encore cinq secondes. Bip, plus qu'une.
    « Je pars à ta rencontre Katherine, regarde moi bien... »
    BIP ! Il était l'heure...Barry donna un grand coup dans sa chaise, celle-ci tomba à terre, laissant le jeune homme marcher dans l'air sans se débattre, sans rien chercher d'autre que son but. Barry se sentit étouffer, il ne pouvait presque plus respirer, c'était bientôt la fin... alors dans ses derniers souffles, il pensa :  « Tu es partie Katherine, sans me prévenir... regarde, je me suis habillé comme quand nous nous sommes rencontrés toi et moi, le 23 Janvier d'il y a trois ans...tout pareil...tu ne reviendras jamais et je le sais... alors je pars te retrouver, te rencontrer encore une fois...s'il te plaît, dis moi que tu me reconnaîtras...je t'ai aimé, je t'aime et je t'aimerai...parce qu'avec toi, il y a eu hier, il y a aujourd'hui et il y aura demain... »
    Barry cessa de bouger..., Barry arrêta de respirer...
    Plus tard, dans la matinée, je le retrouvais, pendu dans sa chambre, la chaise, tombée...

     


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  • Tomorrow is a New Day ! Je vais vous offrir en petit cadeau de noël une petite nouvelle sur un coup de tête ! C'est vraiment niais et pas très bon mais bon, c'est la magie de Noël, ça me fait fleurir des idées nulles dans le cerveau !(^,^) Bonne lecture !

    Kurome chan !

    PS : au fait, Merry Christmas !

     

    Aimons nous pour Noël

            Je n'aimais pas Noël autrefois...je trouvais cette fête stupide, sans intérêt. Nulle quoi ! De plus, je ne recevais pas de cadeau. Mes parents m'avaient laissée à ma grand mère qui n'est pas capable d'aller aux toilettes seule alors aller m'acheter un cadeau...passons. De toute façon, à 15 ans, la magie de Noël, on n'y croit plus !

    Et puis il est arrivé un événement qui fait que, maintenant, Noël a prit pour moi une toute autre tournure.

    Je me baladais dans la ville de Paris, endormie à minuit sous son manteau de neige quand je trouvais par terre un pendantif. En or, joli, simple mais plaisant. Je regardais autour de moi mais personne de venait. Alors je l'ai ramassé et je l'ai fourré dans ma poche. Je plaignais bien le ou la pauvre malheureux (ou malheureuse) qui avait perdu ce bijou. Le soir du réveillon, ce n'était pas de chance.

    Je continuais ma promenade triste et mélancolique quand cette fois, je trouvais par terre une bague, une bague en argent, un anneau tout simple, sans diamant, juste un petit motif de vaguelette ! Encore une fois, il n'y avait personne.

    "C'est certainement la même personne qui a perdu cette bague" pensais-je. Je me suis penchée et j'ai recueilli dans ma main gantée le bijou, l'effleurant du bout des doigts. Bien qu'il fut sans ornement, on voyait qu'il avait de la valeur, une valeur spéciale, qui n'est aps celle de l'or ou de l'argent mais autre chose de plus fort.

    Je guettais pendant ma course lente et ennuyeuse une quelconque personne cherchant quelque chose sur le sol mais personne à l'horizon ! N'y avait il âme qui vive le soir de Noël pour apporter un peu de joie à la mienne ?

           J'arrivais dans un grand parc recouvert de blanc mais par terre, pas très loin de moi gisait encore un objet ! Il scintillait à la lumière de la lune pâle !J'ai couru le ramasser, c'était une rose, une belle rose comme on n'en trouve plus (surtout en hiver), à la beauté à coupé le souffle ! Je l'ai doucement caressée et puis je l'ai prise dans ma main et serrée contre mon coeur.

    Allais-je trouver un objet de valeur à chaque pas ? Je ne savais pas que les miracles se produisaient comme ça !

    Apparemment, ils arrivent quand on ne les attend pas ! Plus loin, au milieu du parc, assit au bord d'une grande fontaine, un jeune homme, tout de rouge vêtu, le sourire bienfaisant et le visage angélique. Il m'attendait.

    "-Bonsoir, tu m'as trouvé !

    -Qui êtes vous ?"

    Je marchais vers lui d'un pas hésitant. Il était beau mais je me méfiais.

    "-Je suis ton père Noël, je t'attendais pour t'offrir ton cadeau. Tu as trouvé une partie de mon présent en venant à moi.

    -D'accord...vous êtes sûr d'être le père Noël ? En général, il est gros, joufflu...un peu vieux aussi...

    -Je ne suis pas le père Noël, je suis TON père Noël ! Vois tu, même les soirs de fête où tu est seule, il y a toujours quelqu'un qui pense à toi. Moi, je pense à toi, je rêve de toi, je suis venu t'offrir le plus beau des cadeaux, je suis venu te donner un peu d'amour...juste pour ce soir.

    -Ce soir hein...il ne reste que quelques heures...et si je ne veux pas ?

    -Tu l'auras juste pour ce soir... Il n'en tient qu'à toi.

    -Alors aimons nous...pour cette nuit seulement, et puis la nuit de noël prochain aussi..."

    Il me pris doucement la main et m'embrassa, je souhaitais que ce moment ne finisse plus...

            

            Noël, c'est le jour des cadeaux, de la dinde, de la magie, de la fête mais c'est aussi la nuit des amoureux, des amoureux d'une nuit, de quelques heures.

     


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  •  Voici une autre nouvelle ! peut être moins bien, je ne sais pas !  au fait, merci à mes (rares) lecteurs pour les commentaires^^ bonne lecture

     Kurome chan ('-')

    Nec plus ultra

     

     

     

     

    L’imperfection, tout le monde la connaît. Elle est commune et existe depuis toujours.

    Mais il y a aussi la perfection, qui serait plutôt une folie. Tout le monde n’en est pas doté. Et heureusement. Imaginez si tout le monde était parfait. Non, comme moi, vous n’y survivrez pas. Personne n’est parfait.

    Et pourtant…j’ai connu quelqu’un de parfait. Une fille.

    C’était l’an dernier, quand elle est arrivé en classe, on avait tous déjà remarqué qu’elle n’était pas comme nous.

    Son apparence était déjà irréprochable : des cheveux blonds et brillants, orné d’un ruban noir tombait impeccablement sur ses épaules pas trop retombées, pas trop remontées mais droites. Un style classique, sage et avec de jolies couleurs.

    Bien sûr, tous les nouveaux élèves se forcent à prendre un air parfait mais à ce point… Sur son visage angélique et fin se dessinait un sourire ni timide et ni orgueilleux, parfait… Elle portait une jupe qui descendait jusqu’à un petit plus haut des genoux. Ses jambes étaient longues, fines et blanches. Ce n’était pas une fille mais une poupée. Ce n’était pas une enfant mais une dame.

    « -Je m’appelle Déborah Williams et je suis enchantée de faire votre connaissance. J’espère bien m’adapter à votre classe et devenir pour vous, une grande amie. »

    Sa façon de parler n’avait rien à voir avec celle d’une enfant de notre âge.

    Et sa voix était bien posée, douce, modulée et son débit…parfait… Tout parfait…

    Je ne parle pas de ses résultats scolaires. Au bout d’une semaine, elle avait dépassé les premiers de la classe (dont moi). Ses notes variaient entre une moyenne de 17 et 20. Mais dans tous les cas, c’était meilleur que moi. Son écriture ronde et droite filait tranquillement sur ses cahiers. Sa tenue, encore parfaite épatait tout le monde. Droite comme un balais et détendue à la fois. On l’avait postée à côté de moi parce qu’on pensait qu’à côté de l’ex première de la classe, elle se sentirait plus à l’aise. En effet, elle ne paraissait pas gênée. C’était plutôt moi qui était tendue au point de tomber de ma chaise ! Je dois bien l’avouer, sa façon de faire m’énervais. Je ne me suis pas gênés pour le lui dire au bout d’un mois.

    « -Déborah, tu sais, tu n’as pas besoin d’être parfaite. Tu es bien comme ça.

    -Pardon ?

    Et voilà ! Un ton pas plus vexé que ça, ses sourcils finement redessinés qui se dressaient à cause de son étonnement…parfait…

    -Ben ce n’est pas une nécessité d’être mieux que tout le monde.

    -Mais le monde remarque les détails. Il faut être parfait. Non ? Maintenant, je suis désolée mais je dois te laisser, j’ai mon cour de violon. Au revoir !

    Mon sang n’a fais qu’un tour et j’ai commencé à voir rouge.

    -Y en a marre de ta perfection ! Tu nous humilies ! Pourquoi tu es comme ça ?! C’est ta façon, être nec plus ultra* ?!

    Elle s’est retourné et m’a affiché un sourire radieux qui disait :

    -Exactement, j’ai étais dotée d’un don que vous n’avez pas. Je suis parfaite. Je dois l’être… parce que l’on m’a donné la possibilité de l’être…je suis…faite…parfaite »

    Mais quelle bêtise ! A croire que le monde veut des êtres parfaits à chaque coin de rue !

    J’avais décidé alors un soir de la suivre chez elle.

    Si l’image qu’elle renvoie à quiconque la regarde est sans souillure et complètement démise d’imperfection, sa maison ne donnait pas tout à fait la même impression… mais vraiment pas du tout. Oui, elle ne lui ressemblait pas. Je l’aurais plus imaginée dans une sorte de petite villa avec une terrasse et elle en train de boire une tasse de thé (attention, avec le petit doigt en l’air pour faire « parfait ») à l’ombre d’un parasol blanc et vêtue d’une robe en dentelle claire pour que le tout s’accorde dans cette vision, encore une fois, parfaite. Mais rien de tout cela n’était montré dans la réalité qui se dressait comme un mur devant mes yeux.

    Je décrirai le bâtiment comme un hangar…oui, c’est exactement ça, ou un entrepôt. Ce n’était vraiment pas beau.

    Je l’ai regardé poussé la lourde porte de métal puis j’ai attendu quelques minutes qui m’ont parues de heures avant d’entrer.

    Et à mon tour, je me suis engouffrée dans son domaine.

    L’intérieur était stupéfiant, je crois que c’était un laboratoire, encore aujourd’hui. Je n’en suis pas si sûre mais ce dont je suis sûre, c’est que je ne veux plus jamais retourner là bas. Tout ce que je peux dire, c’est que l’intérieur de ce bâtiment était loin de la « perfection » de son occupante. Le sol était recouvert d’une sorte de crasse marronnasse et collante qui s’accrochait à mes chaussure et les murs sombres semblaient comme griffés et fondu par certains endroits. Dans l’obscurité, j’arrivais à distinguer des traces de pas, dessinées sur le sol poisseux du hangar. Certainement celles de Déborah. J’ai continué à pister son parcours jusqu’à une porte entrouverte. Une douce musique s’échappait de l’autre côté. C’était un morceau de violon, très joli, très agréable, trop agréable, qui vous donne envie de rester. Et c’Est-ce que j’ai fait, je suis restée. J’ai d’abord cru que c’était Déborah qui jouait, et j’avais dû admettre à ce moment là qu’elle jouait bien. J’ai alors regardé par l’entrebâillement de la porte. Mais je n’ai pas vu de jeune fille identique à une poupée de porcelaine. Non, à l’intérieur, il y avait un homme. Pas très jeune. Je dirai même plutôt vieux. Il balançait doucement la tête au rythme de la musique de droite à gauche en faisant jouer un scalpel entre ses doigts. Enfin, ce n’était peut être pas un scalpel mais c’était muni d’une lame très fine et très tranchante et vu son utilisation, j’en avait déduis que c’était un scalpel !

    L’homme portait sur lui une blouse qui, neuve devait être blanche et sur son nez était perchée une paire de lunettes. Mais vu son âge, il ne pouvait pas être son père. Trop âgé. Je me suis approché davantage et j’ai fini par apercevoir une autre silhouette un plus loin. C’était Déborah mais, bizarrement, elle ne bougeait pas. Ses yeux ressemblaient plus à des billes de verres qu’à des yeux humain et elle se tenait étonnement droite sur ses pieds. Enfin, elle s’était toujours tenue droite mais là…sans faire le moindre mouvements, on aurait qu’elle ne respirait plus ! Mais si on y regardait à deux fois, on pouvait voir qu’elle bougeait un peu les doigts et les lèvres. C’est alors que l’homme s’est approché, toujours avec son jouet dans la main. D’une voix gutturale et atone, il a murmuré, comme si il avait peur que les murs ne l’entendent :

    -Tss…je vais devoir te rendre encore plus parfaite ma fille…tu verras, tu seras une petite fille que tout le monde enviera, ce n’est pas normal que certains ne t’aiment pas…

    -Oui…

    La voix de Déborah était tranquille, pas le moins du monde inquiète, ni enjouée, juste atone, comme celle de son…de cet homme… Je le regardais approcher son scalpel du visage de Déborah avec horreur ! Mais que faisait t-il ? Ou plutôt, qu’allait t-il faire ?!

    Avec précision, il planta sa lame dans la peau rose de ma camarade et fit glisser à la verticale le scalpel…des lambeaux de chair rose pendaient du visage comme des rideaux…c’était abominable.

    Mais en dessous, ce n’était pas de la chair, ce n’était…que du fer…Déborah…n’était pas une humaine ? Impossible ! Pourtant…elle avait l’air si normale…si…parfaite…

    Dans ma terreur, je laissais échapper un petit cri…qui fit le vieillard se retourner ! Il s’approcha de la porte et l’ouvrit en grand !

    « -Tiens…une petite fille…zut… »

    Oh oui zut…mais pour moi ! Partir. M’enfuir. S’échapper.

    Il se retourna alors vers Déborah et lui chuchota quelque chose avant de disparaître derrière une vieille tenture. Déborah se pencha vers le scalpel et commença à s’approcher de moi, avec un sourire qui ne me plaisait mais vraiment pas ! C’était une vision d’horreur, elle, marchant, une lame dans sa main et la peau pendante, les yeux exorbités…

    « -Viens…partage avec moi ma perfection…viens…ne veux tu pas être comme moi…

    -Non, va t-en, ne m’approche pas !!! Au secours !!!

    -Viens…partage avec moi…la perfection suprême…avec moi…comme moi…deviens parfaite…viens avec moi…

    -Non, je ne veux pas être un robot ! Laisse moi !!!

    Elle a alors levé le bras et à ce moment là, je sentit bien le métal froid me rafler la peau. Je touchais mon visage, encore intact. Puis je me levais et m’enfuyais loin…très loin…hors du hangar…loin de Déborah…

    Je me ruais chez moi et me barricadais dans ma chambre. Personne ne m’avait poursuivit…rien à l’horizon.

    Le lendemain, je me risquais à aller voir le hangar. Mais lorsque je suis entrée, il n’y avait plus rien. Pas de trace de Déborah…ni du vieux fou. Rien.

    Était-ce un rêve ? Peut être bien…mais alors…un rêve parfait, plein de doute et de réalité…nec plus ultra…


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